Qualibroker-Swiss Risk & Care propose un conseil global en prévoyance professionnelle et une vision de toutes les prestations sociales, professionnelles et privées.
Que vous soyez une entreprise locale ou multinationale, une institution de prévoyance ou une fondation, notre objectif est de faire en sorte que vous preniez les bonnes décisions, au bon moment et en toute liberté.
Les coûts liés à la prévoyance représentent un poste important au budget d'une entreprise. Il est donc primordial d'être bien accompagné et conseillé. Nos experts sont à votre écoute pour définir avec vous la meilleure solution en matière de prévoyance professionnelle.
La prévoyance professionnelle (ou 2e pilier) est conclue par l’employeur pour ses employés. Elle est régie par la Loi fédérale sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP).
Pour faire face à la complexité croissante de la réglementation en matière de prévoyance professionnelle, nos experts sont en veille permanente du marché et de la réglementation pour vous accompagner et vous conseiller sur tous ces aspects.
Une équipe de gestionnaires multilingues avec une ligne directe pour toutes les questions (rachats, la retraite ou le départ, etc.)
Nos départements Payroll et Gestion des absences travaillent en coordination avec le département LPP au sein de Qualibroker-Swiss Risk & Care. Pour une gestion sans couture.
Vous bénéficiez de conseils professionnels sur l’ensemble des questions ayant trait aux assurances sociales et à la prévoyance. Nous cultivons la proximité avec nos clients et restons à l’écoute de leurs problématiques. Notre indépendance vous garantit l’absence de tout conflit d’intérêt.
Le système de retraite suisse repose sur 3 piliers.
Le 1er pilier, c’est la prévoyance étatique. Il comprend l’AVS, l’AI et les prestations complémentaires. L’AVS est financée selon le système de la répartition.
Le 2e pilier, c’est la prévoyance professionnelle comprenant le régime obligatoire et surobligatoire. Elle couvre la vieillesse, l’invalidité et le décès. C’est un système par capitalisation. Chaque assuré cotise en fonction du plan choisi par les partenaires sociaux (gestion paritaire employeur/employés). L’employeur participe au moins à la même hauteur.
Le 3e pilier, c’est la prévoyance individuelle. Il se compose du 3a, appelée la prévoyance liée, et du 3b, la prévoyance libre.
Tout salarié de plus de 17 ans recevant un salaire supérieur à 22'050 CHF/an* doit cotiser pour le risque décès et invalidité.
Tout salarié de plus de 24 ans recevant un salaire supérieur à 22'050 CHF/an* doit cotiser pour la retraite et se constituer un capital retraite.
L’indépendant peut choisir de financer un 2e pilier mais il en assume la totalité du financement.
Le 2e pilier complète le 1er pilier, l’objectif (non garanti) étant d’obtenir une rente équivalente à 60 % du dernier salaire lors du départ à la retraite.
Un salarié résidant dans l’Union européenne et travaillant en Suisse est assujetti à la prévoyance professionnelle (2e pilier) selon les mêmes conditions qu’un résident Suisse. Au moment de la retraite, il touchera sa rente de la même manière.
En revanche, le frontalier qui cesse toute activité en Suisse peut obtenir le versement en espèces de la partie surobligatoire. La partie obligatoire (encore appelée minimum légal LPP) doit être versée dans une institution de libre passage et pourra être perçue à l’âge de la retraite.
Le capital retraite est composé de :
Le certificat de prévoyance qui vous est remis tous les ans par votre caisse de pension vous donne toutes les informations et notamment la projection du capital retraite au moment de votre départ à la retraite.
Dans le régime obligatoire, les prestations vieillesse sont versées sous forme de rente mais l’assuré peut néanmoins demander de recevoir 25 % de son avoir sous la forme de capital.
Dans le régime surobligatoire, l’assuré peut retirer la totalité de son avoir sous la forme de capital si le règlement de la caisse de pension le prévoit.
Si vous hésitez, prenez conseil auprès de votre caisse de pension ou de votre courtier. L’une ou l’autre des solutions dépend de votre situation.
Si vous êtes marié, le versement sous la forme de capital n’est possible qu’avec l’accord du conjoint.
Rente, capital ou mix des 2… à réfléchir avant son départ à la retraite.
La prestation de libre passage (l’avoir de prévoyance) doit être intégralement transférée à la caisse de pension du nouvel employeur. Cette démarche n’est pas automatique. C’est à chaque assuré de la faire. En général, votre ancienne caisse vous écrit pour vous demander les coordonnées de la nouvelle. En cas de non réponse, les fonds sont transférés auprès l’Institution supplétive LPP.
Il est recommandé de faire transférer votre avoir de prévoyance sur un compte de libre passage ou une police de libre passage. Voir avec votre assureur ou votre courtier la solution la plus intéressante pour vous.
Quel que soit le régime matrimonial, chaque époux aura droit à la moitié de l’avoir de prévoyance de l’ex conjoint qui a été cumulé pendant la période de mariage. Les époux peuvent renoncer au partage. C’est le juge qui décidera si les conditions de renonciation sont réunies ou pas.
Il est important de se référer au règlement de son institution de prévoyance car les prestations diffèrent d’une caisse à l’autre. N’hésitez donc pas à la contacter.
Si le décès survient avant le départ à la retraite : le conjoint survivant (marié ou partenariat enregistré) a droit à une rente s’il a au moins un enfant à charge ou s’il a plus de 45 ans et qu’il est marié depuis au moins 5 ans. Les enfants de moins de 18 ans ou moins de 25 ans (si encore en formation) toucheront une rente d’orphelin. Il est difficile d’être plus précis car les conditions sont différentes selon les institutions de prévoyance.
Si le décès survient après le départ à la retraite : le conjoint survivant touchera une rente correspondant à 60 % de celle du défunt. La rente d’orphelin s’élève à 20 %. Ces rentes s’arrêtent au décès ou au remariage du conjoint et lorsque l’enfant atteint l’âge de 18 ans ou de 25 ans (si encore en formation).
Si vous vous êtes arrêté de travailler quelque temps ou que vous venez de l’étranger, vous pouvez avoir des lacunes de prévoyance professionnelle, c’est-à-dire des années manquantes. Dans ce cas, vous pouvez racheter ces années de cotisation. Vous augmentez ainsi votre avoir vieillesse et vous bénéficiez d’une déduction fiscale. Contactez votre caisse de pension pour connaitre la procédure et le montant maximal que vous pouvez verser.
Si vous êtes résident Suisse depuis moins de 5 ans ou frontalier, vous êtes limité dans votre capacité de rachat. Votre caisse de pension vous précisera ce montant.
Les assurés peuvent utiliser leur 2e pilier pour accéder à la propriété s’il s’agit de leur résidence principale. Ils peuvent également acquérir des participations à la propriété d'un logement ou rembourser un prêt hypothécaire.
Le montant minimum est fixé à 20'000 CHF, tous les 5 ans et jusqu’à 3 ans avant le départ à la retraite. Le montant maximal dépend de l’âge de l’assuré.
Jusqu’à l’âge de 50 ans, la totalité de l’avoir de prévoyance peut être prélevé.
Au-delà de 50 ans, c'est le montant le plus élevé entre l'avoir de prévoyance acquis à 50 ans (et jusqu’à 3 ans avant la retraite) et la moitié de l'avoir disponible au moment de la demande de versement anticipé qui peut être retiré.
Le taux d’intérêt qui s’applique à la part obligatoire de l’avoir de vieillesse est fixée tous les ans par le Conseil fédéral.
Le taux d’intérêt qui s’applique à la part surobligatoire est fixé par chaque caisse de pension en fonction de sa performance.
Dans le régime obligatoire, on ne cotise pas sur l’intégralité du salaire. Les premiers 25'725 CHF* y échappent. C’est ce qu’on appelle la déduction de coordination.
Le salaire coordonné est donc la différence entre le salaire annuel (plafonné à 88'200 CHF*) et la déduction de coordination.
Par exemple, pour un salaire annuel de 80'000 CHF, le salaire coordonné s’élève à 80’000-25'725 = 54'275 CHF. C’est sur ce montant que sont calculées les cotisations pour la prévoyance professionnelle.
Le salaire coordonné ne peut être inférieur à 3'675 CHF* (= salaire coordonné minimum) et supérieur à 62'475 CHF* (= salaire coordonné maximum).
* Chiffres LPP 2023
La gestion de vos contrats d'assurance et de prévoyance, pour vous accompagner ainsi que vos collaborateurs dans ce domaine complexe.
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Parce que vos collaborateurs représentent la plus précieuse de vos ressources, Qualibroker-Swiss Risk & Care vous conseille et vous accompagne dans la mise en place de vos couvertures d’assurances afin de les protéger au mieux.
Qualibroker-Swiss Risk & Care vous guide dans le monde complexe de la prévoyance professionnelle.
Qualibroker-Swiss Risk & Care a réalisé des statistiques afin de mesurer l’indice de confiance accordé au 2e pilier par les travailleurs suisses. Explications.
Avec le projet «Prévoyance vieillesse 2020», c’est une refonte historique qui a été mise en route pour garantir la pérennité des assurances vieillesse suisses. Le point sur la réforme avec Guy Parmelin.